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Risque ESG
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Formation Risque ESG

Formation au risque ESG : poser les bases d’une stratégie alignée et conforme


Le risque ESG (Environnemental, Social et de Gouvernance) est désormais un enjeu incontournable pour les entreprises. Avec l'impact grandissant des défis écologiques, sociaux et de gouvernance, il devient important d’intégrer ces facteurs dans les décisions stratégiques.


Les risques environnementaux, tels que le changement climatique ou la gestion des ressources, sont de plus en plus présents. Les risques sociaux concernent les conditions de travail, la diversité et les relations avec les parties prenantes. Enfin, la gouvernance garantit une gestion éthique et transparente, essentielle à la confiance des acteurs externes.


Se former au risque ESG n'est pas une obligation immédiate, mais cela permet de mieux anticiper les évolutions réglementaires, de réduire les risques et de tirer parti des opportunités liées à la croissance durable. Que vous soyez responsable RSE, financier ou dirigeant, comprendre ces enjeux vous aide à prendre des décisions plus informées et responsables.

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Ce qu’il faut savoir avant de choisir votre formation ESG


Avant de réserver une formation sur le risque ESG, mieux vaut connaître les modalités proposées. Durée, format, contenu, lieux, financement… Les options sont nombreuses, et chaque organisme partenaire a ses spécificités. Voici les points clés à garder en tête pour faire le bon choix.


Programmes de formation

Les formations autour du risque ESG couvrent un large éventail de thématiques, en fonction du profil des participants (financiers, dirigeants, responsables RSE, conformité, fonctions support) et du niveau visé (initiation, perfectionnement, spécialisation).

Selon les modules choisis, les programmes peuvent inclure :

  • les fondamentaux des risques ESG (enjeux, cadre réglementaire, vocabulaire),
  • l’analyse des impacts environnementaux, sociaux et de gouvernance,
  • l’intégration du risque ESG dans les dispositifs de gestion (gouvernance, politique de crédit, stratégie d’investissement...),
  • la mise en œuvre du reporting extra-financier (CSRD, taxonomie, SFDR...),
  • les obligations des secteurs financiers, assurantiels, ou réglementés.

Chaque organisme partenaire propose son propre contenu pédagogique, avec des approches variées : études de cas, mises en situation, ateliers pratiques, simulations d’audit…

Durée de la formation

La durée dépend fortement du format et du niveau d’expertise visé. Sur oùFormer, vous trouverez aussi bien :

  • des sessions courtes (1 à 2 jours) pour découvrir les enjeux ou se mettre à jour sur les évolutions réglementaires,
  • que des modules approfondis répartis sur plusieurs jours, voire plusieurs semaines, pour aller plus loin dans l’analyse, la mise en œuvre et le pilotage stratégique.

Des parcours certifiants ou éligibles à un référentiel spécifique peuvent également proposer des durées plus longues, incluant des évaluations et des travaux dirigés.

Lieux de formation

Les formations recensées sont disponibles partout en France, en présentiel ou à distance.
Selon les organismes partenaires, vous pouvez :

  • suivre une formation en inter-entreprises dans de grandes villes comme Paris, Lyon, Bordeaux, Lille, Marseille, Toulouse, etc.,
  • organiser une session en intra-entreprise, adaptée aux besoins spécifiques de votre structure, directement sur site,
  • ou opter pour une formation 100 % en ligne, synchrone (classe virtuelle) ou asynchrone (accès libre à des contenus pédagogiques).

Financement des formations

La majorité des formations proposées sur oùFormer sont éligibles à une prise en charge par des dispositifs de financement :

  • OPCO (Opérateurs de compétences) pour les formations des salariés en entreprise,
  • Plan de développement des compétences pour les actions stratégiques,
  • ou encore des dispositifs spécifiques pour les établissements du secteur public ou les professions réglementées.

Besoin d’un coup de pouce pour le financement ? oùFormer vous aide à identifier les dispositifs adaptés à votre situation et vous met en relation avec des organismes partenaires capables de vous accompagner dans vos démarches.

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Jeremie Suana

Les enjeux du risque ESG pour les entreprises

Les enjeux ESG ne sont plus périphériques. Ils sont devenus centraux dans l’évaluation des performances, la gestion des risques et les décisions stratégiques.

Intégrer le risque ESG, c’est reconnaître que les impacts environnementaux, sociaux et de gouvernance peuvent affecter directement la solidité d’une organisation. Et qu’ils doivent être traités avec la même rigueur que les autres risques opérationnels ou financiers.

Risques environnementaux : l’impact physique et réglementaire

La hausse des températures, la raréfaction des ressources, les exigences liées à la transition énergétique... Les entreprises doivent composer avec des risques environnementaux de plus en plus concrets.

À cela s’ajoute un encadrement réglementaire toujours plus strict : taxonomie verte, obligations de réduction des émissions, normes sur les approvisionnements… Les structures qui tardent à réagir s’exposent à des sanctions, à des surcoûts et à une perte de compétitivité.

Risques sociaux : climat interne et responsabilité collective

Les risques sociaux concernent autant les conditions de travail que les pratiques d’inclusion, le respect des droits humains ou les relations avec les parties prenantes. Un incident social, une crise de gouvernance RH ou un manque de vigilance sur la chaîne de sous-traitance peuvent rapidement prendre une ampleur médiatique et juridique.

Au-delà du risque réputationnel, la dimension sociale est aujourd’hui un facteur clé d’attractivité, de fidélisation des talents et de cohésion interne.

Risques de gouvernance : pilotage stratégique et conformité

La gouvernance structure la prise de décision et la gestion des priorités au sein de l’organisation. Manque de transparence, conflits d’intérêts, absence de politique ESG claire : autant de points de fragilité susceptibles de fragiliser la stratégie de long terme.

À l’inverse, une gouvernance rigoureuse, alignée avec les attentes des régulateurs et des investisseurs, renforce la crédibilité de l’entreprise et sa capacité à mobiliser autour de ses engagements.

Environnement, social, gouvernance : trois dimensions complémentaires, mais un même enjeu de maîtrise.
Les intégrer dans l’analyse des risques, c’est construire une stratégie plus robuste, plus conforme et plus durable.

Les exigences réglementaires autour du risque ESG

Les exigences en matière de risque ESG ne relèvent plus du simple engagement volontaire. Elles sont aujourd’hui encadrées par un arsenal réglementaire en pleine expansion, porté principalement par l’Union européenne et les autorités de supervision.

Un cadre européen en nette accélération

Depuis 2021, la dynamique est claire : normaliser, encadrer et contrôler la manière dont les entreprises prennent en compte les enjeux ESG.

Parmi les textes les plus structurants :

  • CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive) : impose aux grandes entreprises de publier un reporting extra-financier standardisé, à partir de 2024 pour les plus grandes structures.
  • Taxonomie européenne : définit les activités considérées comme durables, avec des critères techniques précis, en vigueur depuis janvier 2022.
  • SFDR (Sustainable Finance Disclosure Regulation) : renforce la transparence ESG dans les produits financiers distribués au sein de l’UE.
  • MIFID II (version ESG) : oblige les conseillers financiers à tenir compte des préférences de durabilité des clients dans leurs recommandations.
Selon la Commission européenne, la CSRD concernera plus de 50 000 entreprises en Europe d’ici 2026, contre 11 600 actuellement sous la directive NFRD. (Source : European Commission, factsheet CSRD, 2023)

Les attentes des superviseurs ne cessent de monter

Les autorités comme la BCE, l’EBA, l’ESMA ou l’ACPR demandent aux acteurs financiers d’intégrer les risques ESG dans l’ensemble de leur dispositif de gestion des risques.

Cela inclut notamment :

  • L’intégration du risque climatique dans le SREP (processus de surveillance prudentielle)
  • Des obligations de publication dans le cadre du Pilier 3 ESG
  • La mise en place de stress tests climatiques obligatoires
  • L’intégration de l’ESG dans le calcul des exigences de fonds propres
En 2022, la BCE a mené un stress test climatique sur plus de 100 banques : 60 % d’entre elles n’avaient pas encore intégré les risques climatiques dans leur modèle de gestion. (Source : Banque centrale européenne, Climate Stress Test 2022)

Une convergence rapide des obligations

Les entreprises doivent désormais adapter leurs pratiques en profondeur, sous peine de sanctions, de restrictions d’accès à certains marchés ou de perte de crédibilité auprès des parties prenantes.

Cela passe par une mise à jour des référentiels internes, un renforcement des dispositifs de gouvernance, un alignement progressif du reporting avec les nouvelles normes européennes, mais aussi par une montée en compétences des équipes face aux nouveaux textes.

Ce mouvement réglementaire ne concerne plus uniquement les grands groupes cotés. Il s’étend progressivement aux PME, aux compagnies d’assurance, aux établissements de crédit, aux entreprises d’investissement, et demain, à une large part du tissu économique européen. Le risque ESG devient un langage commun, qui structure les rapports entre régulateurs, investisseurs et entreprises.

L’intégration du risque ESG dans la stratégie de l’entreprise

Anticiper, piloter, transformer. C’est dans cette logique que le risque ESG s’intègre aujourd’hui au cœur des stratégies d’entreprise. Longtemps considéré comme un sujet périphérique, il devient un axe structurant de la performance globale.

De l’identification à l’action

Intégrer le risque ESG commence par une cartographie rigoureuse des impacts potentiels : physiques, réglementaires, réputationnels ou financiers. Il ne s’agit pas uniquement de se conformer à des exigences externes, mais de comprendre où se situent les vulnérabilités internes.

Quels sites sont exposés à des aléas climatiques ? Quelles activités dépendent de ressources sensibles ? Quels fournisseurs présentent un risque en matière de droits humains ou de pratiques sociales ? Autant de questions qui appellent des réponses concrètes, documentées, et adaptées à la réalité opérationnelle de chaque structure.

Un levier pour mieux piloter les décisions

Une fois identifiés, les risques ESG doivent être intégrés aux outils de pilotage. Cela implique de revisiter les politiques d’investissement, les critères d’octroi de crédit, les pratiques d’achat, mais aussi la gouvernance elle-même.

De plus en plus d’entreprises mettent en place :

  • des indicateurs ESG suivis par les comités de direction,
  • des plans d’action transverses pour réduire l’exposition aux risques climatiques ou sociaux,
  • des comités RSE ou durabilité rattachés aux instances stratégiques.

Ce type de gouvernance permet une approche plus cohérente, plus agile, et surtout alignée avec les attentes des régulateurs et des investisseurs.

Selon le Baromètre RSE 2023 de Bpifrance Le Lab, 64 % des dirigeants de PME estiment que les enjeux environnementaux et sociaux vont fortement impacter leur activité dans les cinq prochaines années.

Un facteur de compétitivité durable

L’intégration du risque ESG ne se résume pas à un exercice de conformité. Elle peut devenir un véritable avantage concurrentiel. En réduisant les expositions critiques, en améliorant la transparence, en alignant les pratiques sur les standards attendus, les entreprises gagnent en crédibilité, en attractivité et en capacité d’adaptation.

Dans un contexte où les appels d’offres publics, les financements bancaires et les exigences clients intègrent de plus en plus de critères ESG, agir tôt, c’est se placer en position de force.

Les risques ESG spécifiques à certains secteurs

Le risque ESG ne se manifeste pas de la même manière selon les secteurs. Chaque domaine d’activité présente ses propres zones de vulnérabilité, ses exigences réglementaires et ses attentes en matière de transparence. D’où l’importance d’une approche sectorielle, fine et ciblée.

Le secteur financier face à la pression réglementaire

Banques, assurances, sociétés de gestion… Le secteur financier est en première ligne. Les régulateurs attendent désormais une intégration complète des facteurs ESG dans :

  • les processus d’octroi de crédit,
  • la gestion des portefeuilles,
  • le calcul des fonds propres,
  • les dispositifs de contrôle interne.

Les enjeux sont multiples : évaluer correctement les risques climatiques, ajuster les modèles de notation, prendre en compte les préférences de durabilité des clients, ou encore aligner les produits financiers sur les exigences de la taxonomie européenne. À cela s’ajoute l’obligation de publier des informations détaillées, comparables et vérifiables.

D’après l’ACPR, 80 % des assureurs français ont désormais intégré des critères ESG dans leur politique d’investissement, mais seuls 38 % déclarent avoir une évaluation complète des risques climatiques dans leur portefeuille. (Source : ACPR, Analyse 2023)

Les entreprises d’investissement sous surveillance renforcée

Les sociétés de gestion doivent démontrer la prise en compte effective des facteurs ESG dans leurs décisions d’allocation. Cela suppose une traçabilité renforcée, des méthodologies claires, et une transparence accrue vis-à-vis des clients. Le non-respect de ces exigences peut entraîner des sanctions, mais aussi une perte de confiance des investisseurs institutionnels.

L'enjeu n’est plus seulement de proposer des produits “durables”, mais de justifier de leur construction, de leur suivi et de leur cohérence avec les nouvelles normes européennes.

Les secteurs réglementés et à impact direct

Dans des secteurs comme l’énergie, le transport, la santé, l’industrie ou la grande distribution, les risques ESG prennent des formes très concrètes : émissions carbone, conditions de travail, dépendance à certaines ressources, acceptabilité sociale des projets, etc.

Certaines activités sont particulièrement exposées aux risques :

  • Climatiques, avec des installations physiques sensibles (ex. : production, logistique)
  • Sociaux, en lien avec les sous-traitants ou les conditions de travail
  • Réputationnels, en cas de litige ou de non-conformité aux engagements affichés

Dans ces secteurs, l’intégration du risque ESG est souvent directement liée à la continuité d’activité, à l’accès aux marchés publics ou à la capacité à lever des financements.

Les outils pour la gestion et le reporting du risque ESG

Évaluer, suivre, justifier : la gestion du risque ESG repose autant sur la stratégie que sur les bons outils. Pour répondre aux exigences réglementaires, mais aussi piloter efficacement leurs engagements, les entreprises doivent s’appuyer sur des méthodes fiables, des données traçables et un reporting structuré.

Mesurer pour mieux agir

Avant toute chose, il faut disposer d’indicateurs pertinents. Cela suppose de définir des critères ESG mesurables, alignés sur les référentiels reconnus (comme les standards de l’EFRAG ou les indicateurs GRI), mais aussi adaptés au secteur d’activité et à la taille de l’organisation.

Les entreprises structurent de plus en plus leurs démarches autour de :

  • bilans d’émissions carbone (scopes 1, 2 et parfois 3),
  • cartographies de risques climatiques ou sociaux,
  • indicateurs d’exposition aux actifs non durables,
  • évaluations fournisseurs selon des grilles ESG,
  • diagnostics de gouvernance et de pratiques éthiques.
Le Global Reporting Initiative (GRI) reste à ce jour le standard le plus utilisé dans le monde pour structurer les rapports ESG. En 2022, plus de 10 000 organisations dans plus de 100 pays y avaient recours. (Source : GRI Annual Report 2023)

Structurer un reporting fiable et conforme

Le reporting ESG ne peut plus être perçu comme un simple document à publier en fin d’exercice. Il devient un outil de pilotage, un vecteur de crédibilité et une exigence de conformité.

Les attentes sont claires : le rapport doit présenter une vision complète, documentée et vérifiable des risques ESG identifiés, des actions mises en œuvre, des résultats mesurés et des plans d’amélioration. Il doit également répondre aux formats attendus par les autorités, notamment dans le cadre de la CSRD.

Certaines entreprises investissent dans des plateformes ESG dédiées, capables de centraliser les données, de produire des tableaux de bord dynamiques et de générer automatiquement les livrables réglementaires.

Une gouvernance des données à renforcer

La fiabilité du reporting ESG dépend de la qualité des données. Cela implique de former les équipes, de clarifier les responsabilités internes, et de mettre en place des procédures de contrôle adaptées.

La gouvernance de l’information ESG devient donc un sujet à part entière, souvent rattaché à la direction financière, juridique ou RSE. Elle repose sur trois piliers : collecte rigoureuse, auditabilité des données, et capacité à justifier les choix méthodologiques.

Pourquoi investir dans la formation au risque ESG

Les réglementations changent, les attentes évoluent, les pratiques se transforment. Dans ce contexte mouvant, la formation au risque ESG devient un levier pour garder le cap, faire les bons choix et impliquer les bonnes personnes.

Anticiper les évolutions réglementaires

Les textes de référence se multiplient, les exigences de transparence s’intensifient, et les échéances se rapprochent. Se former permet de ne pas subir les changements, mais de les anticiper. Comprendre le contenu des réglementations, leur calendrier d’application et les impacts opérationnels permet de mettre en place les bons outils, au bon moment.

Renforcer la culture ESG en interne

Le risque ESG ne se gère pas uniquement au niveau stratégique. Il concerne les métiers, les filières, les fonctions support. Former les équipes, c’est leur donner les clés pour intégrer les bons réflexes au quotidien : dans les choix d’investissement, dans la relation client, dans les achats, dans le suivi des indicateurs.

Cette montée en compétences crée un langage commun, aligne les décisions et renforce la crédibilité des engagements pris.

Selon le Baromètre 2023 de l’Observatoire de la RSE, près de 7 entreprises sur 10 considèrent que leurs équipes ne sont pas encore suffisamment formées aux enjeux ESG pour répondre aux obligations à venir.

Valoriser ses engagements, réduire ses risques

Un collaborateur formé au risque ESG est capable de détecter plus tôt les signaux faibles, de poser les bonnes questions et de remonter les alertes pertinentes. Cela permet de mieux gérer les situations à risque, mais aussi de valoriser les actions engagées auprès des régulateurs, des investisseurs ou des partenaires.

C’est aussi un moyen de gagner en efficacité : des démarches mieux comprises sont des démarches mieux appliquées.

Prendre le risque de ne pas s’y former, c’est déjà s’exposer

Le risque ESG n’est pas une tendance passagère. C’est une réalité structurante pour les entreprises, un cadre de référence pour les régulateurs, un critère de décision pour les investisseurs. À mesure que les exigences se précisent, les écarts de préparation se creusent.

Les organisations qui anticipent, qui forment, qui mettent en place les bons dispositifs sont celles qui naviguent avec le plus de maîtrise. Elles sont capables d’identifier les zones de vulnérabilité, de démontrer leur conformité, mais aussi de se différencier durablement.

Se former au risque ESG, c’est donc plus qu’un enjeu de conformité. C’est un investissement dans la résilience, la transparence et la performance de demain.

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